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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 14:49

« Remettre le sacrement de la réconciliation au centre »

Discours du pape François aux confesseurs le 4 Mars 2016

« Le mystère de la foi chrétienne est là tout entier. Devenue vivante et visible, elle atteint son sommet en Jésus de Nazareth » (ibid.,1). En ce sens, avant d’être un comportement ou une vertu humaine, la miséricorde est le choix définitif de Dieu en faveur de tous les êtres humains pour leur salut éternel, choix scellé par le sang du Fils de Dieu. Cette divine miséricorde peut gratuitement rejoindre tous ceux qui l’invoquent. En effet, la possibilité du pardon est vraiment ouverte à tous, ou plutôt, elle est grand-ouverte, comme la plus grande des « portes saintes », parce qu’elle coïncide avec le cœur même du Père, qui aime et attend tous ses enfants, en particulier ceux qui se sont le plus trompés et qui sont le plus loin. La miséricorde du Père peut rejoindre toutes les personnes de façons multiples : à travers l’ouverture d’une conscience sincère ; par le biais de la lecture de la Parole de Dieu qui convertit le cœur ; grâce à une rencontre avec une sœur ou un frère miséricordieux ; dans les expériences de la vie qui nous parlent de blessures, de péché, de pardon et de miséricorde.

Il y a toutefois la « voie sûre » de la miséricorde qui, quand nous la parcourant, nous fait passer de la possibilité à la réalité, de l’espérance à la certitude. Cette voie est Jésus, qui a « autorité sur la terre pour pardonner les péchés » (Lc 5,24) et a transmis cette mission à l’Église (cf. Jn 20,21-23). Le sacrement de la réconciliation est donc le lieu privilégié pour faire l’expérience de la miséricorde de Dieu et célébrer la fête de la rencontre avec le Père. Nous oublions ce dernier aspect avec beaucoup de facilité : j’y vais, je demande pardon, je sens l’étreinte du pardon et j’oublie de le fêter. Ce n’est pas une doctrine théologique, mais je dirais, en forçant un peu, que la fête fait partie du sacrement : c’est comme si la fête que je dois faire avec le Père qui m’a pardonné faisait aussi partie de la pénitence.

Quand, en tant que confesseurs, nous nous rendons dans le confessionnal pour accueillir nos frères et sœurs, nous devons toujours nous souvenir que nous sommes des instruments de la miséricorde de Dieu pour eux ; soyons donc attentifs à ne pas mettre d’obstacle à ce don de salut ! Le confesseur lui-même est pécheur, un homme qui a toujours besoin de pardon ; lui, le premier, ne peut pas se passer de la miséricorde de Dieu qui l’a « choisi » et l’a « constitué » (cf. Jn 15, 16) pour cette grande tâche. Il doit donc toujours se rendre disponible dans une attitude de foi humble et généreuse, en ayant pour unique désir que tous les fidèles puissent faire l’expérience de l’amour du Père. Après l’absolution du prêtre, tout fidèle repenti a la certitude, par la foi, que ses péchés n’existent plus. Ils n’existent plus ! Dieu est tout-puissant. J’aime penser qu’il a une faiblesse : une mauvaise mémoire ! Une fois qu’il te pardonne, il oublie. Et c’est quelque chose de grand ! Les péchés n’existent plus, ils ont été effacés par la divine miséricorde.

Chaque absolution est, d’une certaine façon, un jubilé du cœur, qui réjouit non seulement le fidèle et l’Église mais surtout Dieu lui-même. Jésus l’a dit : « Il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion » (Lc 15,7). Il est donc important que le confesseur soit aussi un « canal de la joie » et que le fidèle, après avoir reçu le pardon, ne se sente plus oppressé par ses fautes, mais qu’il puisse goûter l’œuvre de Dieu qui l’a libéré, vivre dans l’action de grâce, prêt à réparer le mal commis et à aller à la rencontre de ses frères avec un cœur bon et disponible.

Chers frères, à notre époque marquée par l’individualisme, par beaucoup de blessures et par la tentation de se renfermer, c’est un véritable don de voir et d’accompagner des personnes qui s’approchent de la miséricorde. Ceci comporte aussi, pour nous tous, une obligation encore plus grande de cohérence évangélique et de bienveillance paternelle ; nous sommes les gardiens, et jamais les patrons, des brebis comme de la grâce.

Remettons au centre – et pas seulement en cette Année jubilaire ! – le sacrement de la réconciliation, véritable espace de l’Esprit dans lequel tous, confesseurs et pénitents, nous pouvons faire l’expérience de l’unique amour définitif et fidèle, celui de Dieu pour chacun de ses enfants, un amour qui ne déçoit jamais. Saint Léopold Mandic répétait que « la miséricorde de Dieu est supérieure à toutes nos attentes ». Il avait aussi l’habitude de dire à ceux qui souffraient : « Nous avons au ciel le cœur d’une mère. La Vierge, notre Mère, qui a éprouvé au pied de la croix toute la souffrance possible pour une créature humaine, comprend nos malheurs et nous console ». Que Marie, Refuge des pécheurs et Mère de miséricorde, guide et soutienne toujours le ministère fondamental de la réconciliation !

Et que faire si je me trouve en difficulté et que je ne peux pas donner l’absolution ? Que faut-il faire ? Avant tout, chercher s’il y a un chemin ; bien souvent on en trouve un.

Deuxièmement, ne pas être seulement lié au langage parlé, mais aussi au langage des gestes. Il y a des personnes qui ne peuvent pas parler et qui, par leur geste, disent leur repentir, leur douleur.

Et troisièmement, si on ne peut pas donner l’absolution, parler comme un père : « Écoute, pour ceci, je ne peux pas [te donner l’absolution], mais je peux t’assurer que Dieu t’aime, que Dieu t’attend ! Prions ensemble la Vierge Marie pour qu’elle te garde ; et viens, reviens, parce que je t’attendrai comme Dieu t’attend » ; et donner la bénédiction. Ainsi, cette personne sort du confessionnal en pensant : « J’ai trouvé un père et il ne m’a pas donné de coups de bâton ». Combien de fois avez-vous entendu dire : « Moi, je ne me confesse jamais, parce qu’une fois, j’y suis allé et je me suis fait attraper »?

Même dans le cas limite où je ne peux pas donner l’absolution, qu’il sente la chaleur d’un père ! Qui le bénit et qui lui dit de revenir. Et aussi, qui prie un peu avec lui ou avec elle. C’est toujours cela l’essentiel : ici, il y a un père. Et cela aussi, c’est une fête, et Dieu sait mieux que nous comment pardonner les choses. Mais qu’au moins nous puissions être l’image du Père.

Chaque absolution est, d’une certaine façon, un jubilé du cœur, qui réjouit non seulement le fidèle et l’Église mais surtout Dieu lui-même. Jésus l’a dit : « Il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion » (Lc 15,7). Il est donc important que le confesseur soit aussi un « canal de la joie » et que le fidèle, après avoir reçu le pardon, ne se sente plus oppressé par ses fautes, mais qu’il puisse goûter l’œuvre de Dieu qui l’a libéré, vivre dans l’action de grâce, prêt à réparer le mal commis et à aller à la rencontre de ses frères avec un cœur bon et disponible.

Chers frères, à notre époque marquée par l’individualisme, par beaucoup de blessures et par la tentation de se renfermer, c’est un véritable don de voir et d’accompagner des personnes qui s’approchent de la miséricorde. Ceci comporte aussi, pour nous tous, une obligation encore plus grande de cohérence évangélique et de bienveillance paternelle ; nous sommes les gardiens, et jamais les patrons, des brebis comme de la grâce.

Remettons au centre – et pas seulement en cette Année jubilaire ! – le sacrement de la réconciliation, véritable espace de l’Esprit dans lequel tous, confesseurs et pénitents, nous pouvons faire l’expérience de l’unique amour définitif et fidèle, celui de Dieu pour chacun de ses enfants, un amour qui ne déçoit jamais. Saint Léopold Mandic répétait que « la miséricorde de Dieu est supérieure à toutes nos attentes ». Il avait aussi l’habitude de dire à ceux qui souffraient : « Nous avons au ciel le cœur d’une mère. La Vierge, notre Mère, qui a éprouvé au pied de la croix toute la souffrance possible pour une créature humaine, comprend nos malheurs et nous console ». Que Marie, Refuge des pécheurs et Mère de miséricorde, guide et soutienne toujours le ministère fondamental de la réconciliation !

Et que faire si je me trouve en difficulté et que je ne peux pas donner l’absolution ? Que faut-il faire ? Avant tout, chercher s’il y a un chemin ; bien souvent on en trouve un.

Deuxièmement, ne pas être seulement lié au langage parlé, mais aussi au langage des gestes. Il y a des personnes qui ne peuvent pas parler et qui, par leur geste, disent leur repentir, leur douleur.

Et troisièmement, si on ne peut pas donner l’absolution, parler comme un père : « Écoute, pour ceci, je ne peux pas [te donner l’absolution], mais je peux t’assurer que Dieu t’aime, que Dieu t’attend ! Prions ensemble la Vierge Marie pour qu’elle te garde ; et viens, reviens, parce que je t’attendrai comme Dieu t’attend » ; et donner la bénédiction. Ainsi, cette personne sort du confessionnal en pensant : « J’ai trouvé un père et il ne m’a pas donné de coups de bâton ». Combien de fois avez-vous entendu dire : « Moi, je ne me confesse jamais, parce qu’une fois, j’y suis allé et je me suis fait attraper »?

Même dans le cas limite où je ne peux pas donner l’absolution, qu’il sente la chaleur d’un père ! Qui le bénit et qui lui dit de revenir. Et aussi, qui prie un peu avec lui ou avec elle. C’est toujours cela l’essentiel : ici, il y a un père. Et cela aussi, c’est une fête, et Dieu sait mieux que nous comment pardonner les choses. Mais qu’au moins nous puissions être l’image du Père.

“Ne songez plus au passé. Voici que je fais un monde nouveau.”

1 ère lecture (Is 43, 16-21) Psaume (Ps 125,1-6) 2 ème lecture (Ph 3,8-14) Evangile (Jn 8,1-11)

La première lecture comme la deuxième convergent, en ce dimanche, sur une recommandation inhabituelle dans l’Ecriture, mais dont il nous faut comprendre le sens véritable à la lumière du texte de saint Paul aux Philippiens et de l’épisode évangélique de la femme adultère. « Ne vous souvenez plus d’autrefois…Oubliant ce qui est en arrière. » Pour saint Paul, nous devons jamais oublier cette “justice qui vient de Dieu et qui est fondée sur la foi.” (Philippiens. 3.9) et, pour le Christ, ce “désormais” rappelle à cette femme dont on ignore le repentir intérieur, que son passé ne peut ni ne doit se vivre à nouveau. Dans les deux cas, oublier le passé contient plusieurs exigences. D’abord ne pas oublier les bienfaits de Dieu. Ensuite ne pas nous alourdir par un retour nostalgique ou anxieux de nos culpabilités. C’est enfin nous tourner vers l’avenir dans la foi et l’espérance née de cette foi.

L’Ancien Testament invite le Peuple de Dieu à se rappeler les hauts faits de Dieu au cours de son Histoire, comment il l’a tiré d’Egypte à main forte et à bras étendu et comment il a noué une alliance, de sa part sans réserve, avec ce peuple “à la nuque raide.” Les prophètes viennent rappeler la grandeur et les exigences de cette alliance à tous ceux qui auraient tendance à l’oublier dans leur vie quotidienne, et particulièrement au roi qui devrait en être le garant. De même saint Paul rappelle au chrétien à quelle impiété et à quelle idolâtrie le Seigneur l’a arraché :”Souvenez-vous qu’autrefois vous étiez sans Christ… maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur.” (Ephésiens 2. 12 et ss.) Mais le souvenir n’est pas nécessairement associé à la noirceur du passé. Il ravive aussi l’élan du néophyte de jadis dont il nous faut sans cesse retrouver l’enthousiasme et l’empressement :”J’ai contre toi ta ferveur première que tu as abandonnée. Repens-toi et accomplis les oeuvres d’autrefois.” (Apocalypse 2. 4 et 5). C’est ce à quoi Jésus invite la femme adultère qu’on a jetée à ses pieds et qu’il relève pour un nouveau comportement. La mémoire porte sur le salut opéré par Dieu, sur l’espérance vécue par la communauté, dans la joie de la libération.

Ces lectures nous disent en même temps que Dieu ne peut être cantonné dans le passé. La vie spirituelle se conjugue au présent, tournée vers l’avenir. Elle n’est pas un retour en arrière. “Voici que je fais un monde nouveau. Il germe déjà. Ne le voyez-vous pas ?” (Isaïe 43. 19) Car cet autrefois n’est pas seulement un passé récent ou douloureux d’où le Peuple est sorti, c’est aussi le passé de tout ce que Dieu a fait depuis le temps de sa création. Dieu ne nous enferme pas dans un souvenir nostalgique. Il est créateur. L’expression biblique “son bras puissant” est une expression souvent employée par les prophètes et les psaumes. Il fait et fera du neuf, à l’égard de quoi les actions passées paraîtront mineures. A nous d’être créatifs. Chez saint Paul, il en est de même. Nous n’avons pas à nous arrêter sur la seule expression “Oubliant ce qui est en arrière.” Nous avons à tenir compte de ce que le passé nous a apporté et comment il nous a façonnés. Dans cette lettre aux Philippiens comme dans bien d’autres, il rappelle sa situation antérieure, parce qu’elle est une fondation qu’on ne peut négliger :”Hébreu, fils d’hébreu. Pour la Loi, pharisien. Pour la justice qu’on trouve dans la Loi, irréprochable.” (Philippiens 3. 6) Il leur rappelle en même temps le moment décisif de son histoire, le chemin de Damas où tout a basculé dans le Christ Jésus. Puisque le Christ est ainsi venu le chercher si loin, comment toute sa vie ne serait-elle pas une tentative de réponse. Tenter de saisir puisqu’il a été saisi, pour aller sur la route d’aujourd’hui, après la route de Damas, jusqu’à la réalisation de ce qu’il a entendu, parce qu’au delà de son aveuglement il pourra un jour voir un Dieu face à face. C’est dans ce sens qu’il nous faudrait relire aussi les chapitres 11 et 12 de la deuxième lettre aux Corinthiens.

1ère lecture : « Voici que je fais une chose nouvelle, je vais désaltérer mon peuple » (Is 43, 16-21)

Lecture du livre du prophète Isaïe

Ainsi parle le Seigneur, lui qui fit un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes, lui qui mit en campagne des chars et des chevaux, des troupes et de puissants guerriers ; les voilà tous couchés pour ne plus se relever, ils se sont éteints, consumés comme une mèche. Le Seigneur dit : « Ne faites plus mémoire des événements passés, ne songez plus aux choses d’autrefois. Voici que je fais une chose nouvelle : elle germe déjà, ne la voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer un chemin dans le désert, des fleuves dans les lieux arides. Les bêtes sauvages me rendront gloire – les chacals et les autruches – parce que j’aurai fait couler de l’eau dans le désert, des fleuves dans les lieux arides, pour désaltérer mon peuple, celui que j’ai choisi. Ce peuple que je me suis façonné redira ma louange. » – Parole du Seigneur.

Psaume : Ps 125 (126), 1-2ab, 2cd-3, 4-5, 6

R/ Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous : nous étions en grande fête ! (Ps 125, 3)

Quand le Seigneur ramena les captifs à Sion, nous étions comme en rêve ! Alors notre bouche était pleine de rires, nous poussions des cris de joie. Alors on disait parmi les nations : « Quelles merveilles fait pour eux le Seigneur ! » Quelles merveilles le Seigneur fit pour nous : nous étions en grande fête ! Ramène, Seigneur, nos captifs, comme les torrents au désert. Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie. Il s’en va, il s’en va en pleurant, il jette la semence ; il s’en vient, il s’en vient dans la joie, il rapporte les gerbes.

2ème lecture : « À cause du Christ, j’ai tout perdu, en devenant semblable à lui dans sa mort » (Ph 3, 8-14)

Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens

Frères, tous les avantages que j’avais autrefois, je les considère comme une perte à cause de ce bien qui dépasse tout : la connaissance du Christ Jésus, mon Seigneur. À cause de lui, j’ai tout perdu ; je considère tout comme des ordures, afin de gagner un seul avantage, le Christ, et, en lui, d’être reconnu juste, non pas de la justice venant de la loi de Moïse mais de celle qui vient de la foi au Christ, la justice venant de Dieu, qui est fondée sur la foi. Il s’agit pour moi de connaître le Christ, d’éprouver la puissance de sa résurrection et de communier aux souffrances de sa Passion, en devenant semblable à lui dans sa mort, avec l’espoir de parvenir à la résurrection d’entre les morts. Certes, je n’ai pas encore obtenu cela, je n’ai pas encore atteint la perfection, mais je poursuis ma course pour tâcher de saisir, puisque j’ai moi-même été saisi par le Christ Jésus. Frères, quant à moi, je ne pense pas avoir déjà saisi cela. Une seule chose compte : oubliant ce qui est en arrière, et lancé vers l’avant, je cours vers le but en vue du prix auquel Dieu nous appelle là-haut dans le Christ Jésus. – Parole du Seigneur.

Evangile : « Celui d’entre-vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à jeter une pierre » (Jn 8, 1-11)

Acclamation : Gloire à toi, Seigneur. Gloire à toi. Maintenant, dit le Seigneur, revenez à moi de tout votre cœur, car je suis tendre et miséricordieux. Gloire à toi, Seigneur. Gloire à toi. (cf. Jl 2, 12b.13c)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean

En ce temps-là, Jésus s’en alla au mont des Oliviers. Dès l’aurore, il retourna au Temple. Comme tout le peuple venait à lui, il s’assit et se mit à enseigner. Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre. Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. » – Acclamons la Parole de Dieu.

CALENDRIER

  • Messe tous les jours à 9 h avec l’office des Laudes

  • Tous les samedis matin de 10 h à 12 h un prêtre se tient dans l’église Notre-Dame pour accueillir une démarche du sacrement de réconciliation

  • Adoration du Saint-Sacrement tous les samedis de 9 h 30 à 12 h à la crypte

-Lundi 14 mars : de la férie

-Mardi 15 mars : de la férie et sainte Louise de Marillac

-Mercredi 16 mars : de la férie

-Jeudi 17 mars : de la férie et saint Patrice ou Patrick

-Vendredi 18 mars : de la férie et saint Cyrille

-Samedi 19 mars : SAINT JOSEPH, solennité

LES RENDEZ-VOUS DE LA SEMAINE

-Mardi 15 mars à 20 h 30 salle Pierre Lefeuvre : groupe biblique animé par Madame Myriam de la Marnière, Etude de Genèse 1-3

-Mercredi 16 mars à 14 h 30 salle Pierre Lefeuvre : Réunion du groupe MCR

-Mercredi 16 mars à 17 h salle Pierre Lefeuvre : rencontre pour la préparation à la Confirmation

Mercredi 16 mars à 20 h 30 en l’Eglise Notre-Dame : Concert « Messa di Gloria de Puccini » organisé par le conservatoire Hector Berlioz de Pavillons-Sous-Bois dans le cadre de la 17 ème édition du Festival des Voix mêlées

-Jeudi 17 Mars à 20 h 30 salle Pierre Lefeuvre : rencontre des fiancés du Raincy et de Villemomble

-Vendredi 18 mars à 14 h salle Pierre Lefeuvre : Réunion des Equipes Saint-Vincent

-Vendredi 18 Mars à 20 h-30 : rencontre des catéchumènes adultes et leurs accompagnateurs

-Samedi 19 mars à 10 h dans l’église Notre Dame Célébration du sacrement du pardon pour les enfants de la catéchèse de CM1

-Samedi 19 Mars de 18 h à 20 h salle Pierre Lefeuvre : rencontre des jeunes de 4 ème-3 ème

Célébration des Rameaux : Samedi soir à 18 h à Notre-Dame ; Dimanche à 9 h à Saint-Louis ; Dimanche à 10 h à Notre-Dame. Bénédiction des Rameaux au début de chacune des messes.

Dimanche 20 Mars de 10 h à 16 h 30 salle Pierre Lefeuvre : rencontre des fiancés du secteur

A noter Lundi 21 mars à 14 h : nettoyage et ménage de l’église Notre-Dame.

Venons nombreux.

A partir du Dimanche 27 Mars (dimanche de Pâques) la messe du dimanche à Notre-Dame sera à nouveau à 10 h 30. Ce dimanche 27 Mars nous passerons à l’heure d’été…

Pas de changements pour le samedi soir à Saint-Louis

DIMANCHE 13 mars 2016 – 5ème dimanche de Carême

1 ère lecture (Is 43, 16-21) Psaume (Ps 125,1-6) 2 ème lecture (Ph 3,8-14) Evangile (Jn 8,1-11)

DIMANCHE 20 mars 2016 – Dimanche des Rameaux et de la Passion

1 ère lecture (Is 50,4-7) Psaume (Ps 21,8-9.17-20.22-24) 2 ème lecture (Ph 2,6-11 ) Evangile (Lc 22,14-23,56)

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Published by paroisse du Raincy - dans Feuilles de semaine

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